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Bienvenue

au GAEC de Crabot

INNOVATION #1 : Valorisation des couverts d’interculture d’été

Etape n°1 :

Et si on commençait

Par se présenter ?

Présentation du GAEC

Le GAEC de Crabot situé à Sainte Suzanne sur le canton du Fossat est composé de 2 UTH, David Comminges et sa sœur Séverine Eychenne. Thierry Armaing, employé à la CUMA de Sainte suzanne, réalise environ un mi-temps sur l’exploitation également.

Présentation des productions

Ils exploitent aujourd’hui 230 ha de grandes cultures et de prairies. Depuis 2013, ils implantent systématiquement des dérobées estivales qui sont valorisées par le troupeau de vaches.

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ha de SAU
Visionnez la vidéo de présentation du GAEC de Crabot

Etape n°2 :

Pourquoi avoir entamé

une évolution des pratiques ?

Nous nous appliquons à couvrir nos sols au maximum tout au long de l’année, pour éviter l’érosion et produire de la biomasse. Les couverts d’hiver sont régulièrement exportés (méteils ensilés), et depuis la mise en place des couverts d’été, le troupeau les valorise à un moment ou la ressource disponible est rare dans les prairies.

Visionnez la vidéo d'explication concernant le choix du système fourrager

Etape n°3 :

Quand a été prise

la décision ?

D’où est venue l’idée ?

Le pâturage de sorgho fourrager est une pratique connue dans le secteur, mais conduit en culture principale. Profiter des couverts estivaux par le troupeau était une évidence, étant donné que la plante était connue.

Etape n°4 :

Comment avons-nous mis en œuvre

la pratique innovante ?

Avec 7-8 ans de recul sur la pratique, la réussite des couverts estivaux est la clé du système. L’implantation est réalisé quand c’est possible juste après la moisson des céréales, au semoir direct à dent, ou si le sol est déjà sec avant un orage dans l’été. En moyenne, les vaches commencent le pâturage quand il mesure 60 cm début septembre, jusqu’aux premiers coups de froid à l’automne.

Photo 1 : pâturage du couvert par les vaches

Etape n°5 :

Quels sont résultats

pour cette innovation ?

Grace aux sorghos fourragers, 40 vaches et génisses se nourrissent exclusivement sur ces parcelles pendant 2 mois. Les mères se préparent au vêlage à ce moment-là et les génisses poursuivent leur croissance, avec des états corporels qui se maintiennent. Pour les cultures qui suivent, si le sorgho n’était pas à un stade trop avancé un broyage peut être évité car les vaches le valorisent très bien.

vaches et génisses nourries pendant 2 mois 0
vaches et génisses nourries pendant 2 mois
Découvrez le témoignage sur les résultats du sorgho fourrager !

Etape n°6 :

Quelles sont nos recommandations

pour la mise en œuvre ?

Découvrez le témoignage de l'agricultrice sur les recommandations pour la mise en œuvre du sorgho fourrager !

Commencer à faire pâturer assez tôt pour ne pas se faire dépasser (dès 60 cm de haut).

Mettre en place le pâturage tournant dynamique pour éviter le piétinement et gagner un passage de plus.

Laisser accès à une parcelle refuge avec point d’eau.

Dans l’ensemble, l’important, c’est le timing entre les fourrages !

Quelles sont les bénéfices

de la pratique innovante ?

Les couverts végétaux apportent de la souplesse à notre système. En valorisant les intercultures, nous arrivons à produire plus de fourrage et les bonnes années, à ne distribuer aucun fourrage de fin mars à novembre, alors que dans le secteur, la pratique est à l’affourragement au champs à partir de début août.

INNOVATION #2 : Pâturage tournant dynamique

Etape n°1 :

Et si on commençait

Par se présenter ?

Présentation du GAEC

Le GAEC de Crabot situé à Sainte Suzanne sur le canton du Fossat est composé de 2 UTH, David Comminges et sa sœur Séverine Eychenne. Thierry Armaing, employé à la CUMA de Sainte suzanne, réalise environ un mi-temps sur l’exploitation également.

Présentation des productions

Ils exploitent aujourd’hui 230 ha de grandes cultures et de prairies. Depuis 2013, ils implantent systématiquement des dérobées estivales qui sont valorisées par le troupeau de vaches.

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ha de SAU
Visionnez la vidéo de présentation du GAEC de Crabot

Etape n°2 :

Pourquoi avoir entamé

une évolution des pratiques ?

Nous sommes dans un secteur où la pousse de l’herbe dure environ 4 mois, de début mars à début juillet. La valoriser au mieux nous semble important car c’est la ressource fourragère la plus économique et de qualité si elle convenablement gérée. Au mieux valoriser le potentiel fourrager

Visionnez la vidéo d'explication concernant le choix du pâturage tournant dynamique

Etape n°3 :

Quand a été prise

la décision ?

D’où est venue l’idée ?

Lors d’un stage de chien de troupeau, j’ai rencontré des producteurs de brebis qui pratiquaient du pâturage tournant. Historiquement, j’ai toujours rationné les prairies au fil avant, mais sans fil arrière. Dans la foulée, je suis allé à une visite organisée chez Michel DELPECH, pionnier dans le pâturage tournant dynamique dans le Lot : ça m’a convaincu et je me suis lancée.

Etape n°4 :

Comment avons-nous mis en œuvre

la pratique innovante ?

Visionnez les explications sur le fonctionnement du pâturage tournant dynamique !

Je me suis équipé de matériel de clôture spécialisé dès le début. Le coût est élevé mais le matériel est robuste et pratique à l’usage. Au printemps, les paddocks que je découpe sont de 24 à 72 h selon les parcelles, puis dans l’été et sur les parcelles moins productives, je monte à 4-5 jours. 

Pour l’eau, avec un parcellaire éclaté, j’ai un grand bac de 1000l par îlot, et que les vaches peuvent atteindre depuis tous les paddocks.

Pour l’entretien, nous passons un coup d’épareuse en hiver, puis la débroussailleuse en été.

Photo 1 : Vaches en pâturage tournant dynamique : clôtures, bacs à eau

Visionnez la vidéo du changement de paddock d’un lot

Etape n°5 :

Quels sont résultats

pour cette innovation ?

Avec la mise en place du pâturage tournant dynamique, j’arrive à faire un passage de plus, en début d’été. J’arrive en moyenne jusqu’au 20 août sur les parcelles pâturées (prairies permanentes et sainfoin), ce qui est bien pour le secteur. Grace à cette pratique, la qualité des prairies s’est améliorée avec l’apparition des légumineuses.

Quand l’année est favorable, le lien est direct entre la fin des pâtures et l’arrivée du sorgho fourrager, parfois je dois distribuer du fourrage pendant jours environ.

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passage de plus en début d'été
Découvrez le témoignage de l'agricultrice sur les résultats du pâturage tournant dynamique !

Etape n°6 :

Quelles sont nos recommandations

pour la mise en œuvre ?

Visionnez les recommandations données par l'agricultrice sur le pâturage tournant dynamique !

Il faut être équipé en clôture, on dirait que c’est fastidieux mais le jeu en vaut la chandelle.

Au maximum il faut organiser le travail, et installer des pâtures à plusieurs : le gain de temps est considérable. Une fois installé, changer les animaux de paddock est très rapide.

Pour

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hectares

Le pâturage tournant s’étale sur

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jours

Et se distribue sur

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paddocks

Quelles sont les bénéfices

de la pratique innovante ?

Témoignages !

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